Tout d’abord, mon projet visait à
informer la population des risques pouvant résulter de l’utilisation d’un
service, d’une technologie ou autre élément. J’abordais donc un thème tout en
décrivant celui-ci et en montrant également les côtés moins roses.
Composantes du
projet :
-
Page web : le
point de départ et hébergement de l’initiative (dépôt de contenu)
-
Flux RSS
lié à la page web : informé l’internaute lors de changement
-
Compte Twitter : diffusion et recherche de groupes
-
Compte Facebook : diffusion et recherche de
groupes
-
Internautes : bassin de population potentiellement
intéressée
-
Google Blog :
articles pouvant intéresser les lecteurs
Voici un schéma des différentes entités et de leurs
possibles interactions :
La principale source de contenu se trouve sur Google Sites, il s’agit de la plateforme me permettant d’y diffuser du contenu tel des articles ou encore des liens. Une file RSS est également liée à cette composante, ce qui permet de notifier les abonnés lors d’un changement ou d’un ajout au site. Les internautes abonnés n’ont ainsi qu’à suivre les publications via un lecteur de flux tel Netvibes ou un autre[1]. Bien entendu, un internaute peut tout de même trouver mon site par le biais d’un moteur de recherche, mais cela réduit les probabilités.
De manière complémentaire,
l’activité C m’a amené à publier différents articles sur mon blogue et
plusieurs de ceux-ci offraient du contenu correspondant à mon initiative. J’ai
ainsi pris la liberté d’en publier l’adresse afin de susciter un intérêt accru.
Les sites de médias sociaux
Twitter et Facebook m’ont permis de joindre quelques groupes en matière de
sécurité des technologies de l’information. J’ai ainsi été en mesure de publier
des messages de groupe tout en donnant l’adresse de mon site et de mon blogue.
Ces deux entités m’ont offert la possibilité de diffuser à des populations
cibles, bien que les utilisateurs aient le loisir de consulter ou non mes
sites.
Description
des activités
La première action que j’ai posée
a été de réfléchir à des causes qui pouvaient m’intéresser. Suite à cette
réflexion, mon choix s’est alors porté sur la motivation d’informer un public
général et spécifique concernant certains éléments des TI et des risques
inhérents à ceux-ci.
Afin de mener à bien ma mission,
je me devais de trouver une plateforme de diffusion. J’ai ainsi décidé de créer
un site web sur Google sites. Par la
suite, j’ai intitulé mon site « Risques sur internet
» étant donné que la majorité des risques résultant de l’utilisation d’un
système informatique y sont rattachés. Le fait d’avoir une tribune sur la toile
était le point de départ, mais je devais y publier du contenu afin d’attirer
des visiteurs et de les conscientiser. Je me suis ainsi mis à diffuser des
articles aux sujets variés, mais toujours en lien avec un volet informationnel
concernant certaines menaces ou mise en garde. Les visiteurs ont également la
possibilité de s’abonner à une file RSS
afin de toujours être avisés lors de nouvelles parutions.
Dans l’optique de ne pas
uniquement obtenir des visites ne provenant que des résultats de moteurs de
recherches, j’ai décidé que je devais avoir une place dans l’univers des médias
sociaux. J’ai alors créé un profil Facebook qui m’a permis de joindre des
groupes de sécurité tout en me permettant de publier un lien sur mon site web
et un autre sur mon blogue (ce dernier n’a pas été conçu pour cette activité,
mais plusieurs articles peuvent néanmoins intéresser le lecteur). La même
opération a ensuite été faite pour Twitter. La recherche de groupes ayant des
intérêts similaires aux miens s’est avérée fort difficile, mais j’aborderai
davantage ce point dans les facteurs problématiques.
Statistiques
de fréquentations de la page principale
Les statistiques parlent d’elles
mêmes, au départ j’ai initié les activités inhérentes à la plateforme de
diffusion, mais sans trop faire de
publicité du lien. Cela a eu pour effet que le nombre de visiteurs fût
relativement bas ou inexistant. Même constat lors de certains épisodes, ce qui
explique un graphique en dents de scie. Une chose est claire, il existe un lien
clairement démontrable entre le fait de diffuser l’adresse du site à quelques
endroits et le nombre de visiteurs. Cette corrélation peut être observée avec
la pointe aux environs du 9 septembre.
La courbe des visiteurs par semaine sur une période d'environ 2 mois.
Le graphique suivant montre le pays du visiteur. C'est donc la Tunisie qui remporte la palme suvi du Canada. Il est ainsi possible de voir la provenance des visiteurs, celle-ci est évidement fortement liée à la langue des publications.
Cette partie permet de connaître le type de fureteur de l'internaute, la langue définie ainsi que son système d'exploitation.
Le principal référant a été Facebook et ensuite venait Google. J'ai également diffusé sur Twitter, mais il ne semble pas y avoir eu de personnes intéressées à consulter mon lien... Quant à ceux identifiés comme "direct", ils proviennent fort probablement du lien publié sur le groupe dans Diigo.
Statistiques de fréquentations du blogue
Le blogue était un complément au site principal, voici tout de même ses chiffres.
Le nombre de visiteurs par semaine.
Pays de provenance des visiteurs ainsi que leur navigateur et leur système d'exploitation. Les internautes étaient majoritairement d'origine américaine ou canadienne. Il y a néanmoins une très grande diversité au niveau des pays.
Les sites référants sont très variés bien que Vampirestat et Blogspot dominent.
Au départ, je savais que de
nombreux sites traitaient déjà de problèmes de sécurité, de hack ou encore de risques. Par contre,
la majorité de ces sources présentent ce type d’information à un auditoire
expert tellement le tout est technique. J’ai donc tenté de présenter des sujets
tout en adaptant le contenu à un public général pouvant en apprendre plus sur
un thème grâce aux liens que j’incluais (Ex. Wikipedia).
Le principal problème qui s’est
posé a été l’absence de groupes ayant des intérêts proches des miens. La
majorité de ces sites diffusent via des plateformes web, mais ne font pas
explicitement partie de regroupements particuliers. Dans l’affirmative, les
objectifs étaient souvent fort différents. Lorsque je parle de groupes, je
pense à Facebook ou Twitter puisque les sites web n’offrent pas réellement
cette possibilité outre ceux où il est possible de créer un compte. Les
quelques groupes que j’ai réussi à joindre ne comportaient pas beaucoup de
membres, donc peu de candidats pouvant consulter mes liens diffusés. J’ai
également appris qu’il est préférable de ne pas publier uniquement un lien,
mais d’y annoter une ou deux phrases permettant d’avoir une idée du contenu qui
s’y trouve. Cela offre un contact plus « humain » comparativement aux «
spammeurs », qui sont monnaie courante! Joindre des groupes sur les sites de
médias sociaux était quelque chose ne nécessitant peu ou pas d’efforts, mais
avoir des gens qui suivent nos activités et publications de manière active est
quelque chose de fort différent!
Mon portail d’information était à
ses débuts, ce qui implique que peu d’internautes viennent le consulter.
L’indexation est faite dans un moteur de recherche, mais mon site principal
arrivait très loin dans les résultats retournés… Cela a certainement eu un
impact notable sur le niveau de consultation. Promouvoir son site sur les
médias sociaux a davantage de poids que de se fier uniquement aux recherches.
Je suis d’avis qu’un site bien
présenté et offrant des publications assez fréquentes peut susciter l’intérêt
de plusieurs personnes. Néanmoins, cela veut également dire qu’il faut y investir
des efforts de manière constante sinon il risque de tomber à l’abandon ou dans
l’oubli.
Finalement, les sujets doivent
intéresser l’auditoire. Certains internautes vont plutôt préconiser la
recherche de contenu spécifique au lieu de visiter mon site pour y consulter la
totalité des éléments qui s’y trouve.
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